jb1080 a écrit:Yogi_Coudoux a écrit:11 BRENNUS a écrit:Faut arrêter avec la pauvreté de Béziers... Les guignols qui ont "géré" la ville des années 80 à 2015 sont entièrement responsables de la situation actuelle, en attirant tous les Bac moins 7. Néanmoins, cette ville et sa région a des atouts économiques et de situation uniques et elle se développe .Le bâti est en hausse et bon nombre de gens vendent sur l'Est de l'Hérault pour s'installer ici.
La médiocrité, la main mise, les malversations de certains, font que les gens susceptibles de s'investir ne veulent pas venir dans un terrain miné et une chasse privée.
Bonjour, tout à fait d accord demandez au patron de gazechim pourquoi il a jamais voulu investir dans le club, pourtant c est pas l argent qu il manque. La pauvreté de la ville a toujours été avance pour nous endormir, c est avant tout les hommes à la tête du club qui l ont amené à rester médiocre.
Exactement.
Tant qu'on aura des dirigeants qui roulent pour leur cul et celui de leurs potes au lieu de faire passer le club et le sportif au premier plan on vegetera en D2 avant de descendre encore d’un étage et faire la même en Nat1.
J'espère que nos nouveaux dirigeants auront le mérite de briser cette spirale négative et sclerosante.
C’est un fait que Béziers est dans le peloton de tête des villes de France ”pauvres ”
Mais notre ville est un paradoxe, j’ai copié ce qui suit :
En effet, contrairement à l’idée spontanée que l’image de Béziers offre aux yeux d’un observateur peu au fait de son histoire, notamment, cette ville*, avec un patrimoine moyen de valorisation de 2 620 000€, occupe la première place du podium, non seulement dans l’ex-Languedoc-Roussillon, mais aussi dans l’actuelle grande région Occitanie-Pyrénées-Méditerranée ; Montpellier (2 500 000€) suit, talonnée par Perpignan (2 458 000€) ; Nîmes vient en quatrième position (2 428 000€), Narbonne et Carcassonne terminant ce classement (2 300 000€), devant Agde (2 270 000€).
Ce que j’ai surtout retenu enfin, quand on met en rapport ces données concernant l’ISF avec la « médiane du revenu disponible par unité de consommation » de ces villes, c’est l’extrême polarisation de « richesse » sur Béziers, Perpignan, et dans une moindre mesure Nîmes (voir le tableau joint.) Un constat vérifié par les taux de pauvreté élevés de ces trois villes : Béziers détenant la première place dans l’ex-Languedoc-Roussillon (33,8%), suivie par Perpignan (31,6%) et Nîmes (29%). Une réalité socio-économique qui pourrait expliquer l’histoire politique récente dans ces trois cités et l’importance prise par le vote populiste d’extrême-droite…
* Béziers fut très longtemps, démographiquement et économiquement, la ville la plus « importante » du Languedoc…