bubudelasb a écrit:drop 74 a écrit:On recommence avec le politique ? Je suppose que cette association est une force d'opposition au maire, non ?
je ne sais pas, je connais pas cette assos .
Aucun nom , ça navigue incognito
bubudelasb a écrit:drop 74 a écrit:On recommence avec le politique ? Je suppose que cette association est une force d'opposition au maire, non ?
je ne sais pas, je connais pas cette assos .
larevolte a écrit:bubudelasb a écrit:drop 74 a écrit:On recommence avec le politique ? Je suppose que cette association est une force d'opposition au maire, non ?
je ne sais pas, je connais pas cette assos .
Aucun nom , ça navigue incognito
Yogi_Coudoux a écrit:larevolte a écrit:bubudelasb a écrit:je ne sais pas, je connais pas cette assos .
Aucun nom , ça navigue incognito
« Le Biterrois Michel Lefebvre, président de l'association de défense des citoyens L.E.F.E., dénonce une taxe d’enlèvement des ordures ménagères anormalement élevée à Béziers et demande une décharge. »
Trouvé sur internet.
Yogi_Coudoux a écrit:larevolte a écrit:bubudelasb a écrit:je ne sais pas, je connais pas cette assos .
Aucun nom , ça navigue incognito
« Le Biterrois Michel Lefebvre, président de l'association de défense des citoyens L.E.F.E., dénonce une taxe d’enlèvement des ordures ménagères anormalement élevée à Béziers et demande une décharge. »
Trouvé sur internet.
Yogi_Coudoux a écrit:11 BRENNUS a écrit:en bref , ces gens veulent le désengagement de la mairie et la mort du club professionel. Ils feraient mieux d'aider à trouver un repreneur et d'aller en boire une paire de Leffe...
Bonsoir, encore faudrait il que le club soit en vente.
11 BRENNUS a écrit:Yogi_Coudoux a écrit:11 BRENNUS a écrit:en bref , ces gens veulent le désengagement de la mairie et la mort du club professionel. Ils feraient mieux d'aider à trouver un repreneur et d'aller en boire une paire de Leffe...
Bonsoir, encore faudrait il que le club soit en vente.
Tu dis parfois l'inverse !
Yogi_Coudoux a écrit:11 BRENNUS a écrit:Yogi_Coudoux a écrit:
Bonsoir, encore faudrait il que le club soit en vente.
Tu dis parfois l'inverse !
Bonjour à tous, c est vrai mais je me dis quand tu trouves une excuse à chaque fois pour ne pas vendre ou que tu fais traîner en longueur c est que tu n as pas la volonté de vendre. Après on peut trouver toutes les raisons possibles à ne pas vendre mais même à Biarritz ils arrivent à faire machine arrière alors pourquoi pas à Béziers.
daniel a écrit:Comme tous ici j'aime l'ASB mais on peut pas banaliser le fait que l'on bloque le développement d'une ville à cause de conneries faites par des privés !!!
Et politiquement parlant ou pas, cautionner par la mairie au travers de versement de subvention plus conséquente que la normale.
11 BRENNUS a écrit:daniel a écrit:Comme tous ici j'aime l'ASB mais on peut pas banaliser le fait que l'on bloque le développement d'une ville à cause de conneries faites par des privés !!!
Et politiquement parlant ou pas, cautionner par la mairie au travers de versement de subvention plus conséquente que la normale.
Tu as aussi raison, mais je me dis que si les privés en question étaient mis sur la selette le club en subirait des conséquences irrémédiables , d'où le silence sur l'audit notamment. Bon , ce ne sont que mes suppositions.
Yogi_Coudoux a écrit:11 BRENNUS a écrit:Yogi_Coudoux a écrit:
Bonsoir, encore faudrait il que le club soit en vente.
Tu dis parfois l'inverse !
Bonjour à tous, c est vrai mais je me dis quand tu trouves une excuse à chaque fois pour ne pas vendre ou que tu fais traîner en longueur c est que tu n as pas la volonté de vendre. Après on peut trouver toutes les raisons possibles à ne pas vendre mais même à Biarritz ils arrivent à faire machine arrière alors pourquoi pas à Béziers.
Bleu-Rouge a écrit:
Je n'achète pas ce ...., toujours à charge, on me le fait passer
Bleu-Rouge a écrit:Robert Ménard, maire de Béziers : " La Ville paie pour le rugby et cela ne me pose aucun problème"
Abonnés
Le maire, Robert Ménard, assume ses choix pour le club de rugby. MIDI LIBRE - Caroline Gaillard
Rugby XV, Béziers
Publié le 31/05/2023
Après le vote d'une nouvelle subvention de 350 000 € à la SASP Rugby, le maire de Béziers explique ses choix. Et les assume.
Vous avez fait voter lors du dernier conseil municipal une nouvelle subvention, de 350 000 € pour la SASP Rugby. Pourquoi encore cette rallonge ?
Je tiens tout d'abord à rappeler que si nous n'avions pas été là, le club ne serait plus en Pro D2. Franchir ce pas n'a pas été rien. C'est le seul club, propriété d'une Ville. Aujourd'hui, il a une situation financière saine. Si nous avons été obligés de trouver 350 000 € de plus, c'est que l'Etat a demandé le remboursement des frais de billetterie de la période du Covid. C'est écrit dans la délibération. On ne pensait jamais que l'Etat nous demanderait de rembourser. C'est le cas pour tous les clubs. Cela n'a rien à voir avec le PGE que nous remboursons, par ailleurs, comme c'était prévu.
Continuez-vous à discuter avec d'éventuels repreneurs ? Les oppositions municipales semblent dire que tout n'est pas dit.
Non, je ne dis pas tout. Quand on discute avec nombre de gens, on demande une clause de confidentialité. Et elle est réciproque. C'est bien normal dans une discussion. Et oui, je continue à en rencontrer et cela ne veut pas dire que ça va déboucher. Je suis incapable de le dire aujourd'hui. De toute façon, il y aura demain encore la Ville parce que je pense, et c'est un choix personnel, que le club est aussi un lieu d'éducation. La Ville paie pour le rugby et cela ne me pose aucun problème. Cela fait 1,150 M€ avec la dernière subvention. Je ne veux plus justifier et j'assume le fait que oui, on aide de façon importante et on continuera. Ça pourrait être une sorte d'utilité publique. Cette saison, ce sont 67 968 spectateurs qui sont venus au stade. Nous sommes classés 7e sur 16 en termes de fréquentation avec le meilleur score en fin de saison.
"Je fais confiance à Pierre Caillet"
Quand on évoque l'équipe dirigeante et Jean-Michel Vidal qui avait évoqué n'être que de passage, Robert Ménard commente : "Il restera aussi longtemps que je le demanderai, gentiment. Il l'a fait et il continuera à le faire. On a des rapports amicaux qui dépassent le sport. Avec Michaël Guedj, ils ont été présents et je sais que je peux leur demander beaucoup de choses. Et je continuerai à le faire. Heureusement qu'ils étaient là tous les deux, honnêtement. Et dans l'autre sens, ils savent que j'ai été là au bon moment. On est d'accord sur ça."
Quant à sa présence auprès de l'équipe, plus fréquente, il justifie : "Quand la mairie donne de l'argent, elle a un droit de regard. Et donc je l'exerce ce droit de regard. C'est l'argent du contribuable. Oui, je vais m'expliquer avec les joueurs, oui je les ai rencontrés et oui, je suis capable de leur dire ou de leur dire mes exaspérations - je l'ai fait au moins deux fois cette année. J'ai 70 ans, je peux parler à des gamins de 25 ans en gueulant s'il faut gueuler. Je n'ai aucun scrupule à le faire et je ne crois pas qu'ils s'en formalisent plus que ça."
"En plus, j'ai appris à connaître Pierre Caillet. Je lui fais confiance. Le deal est très simple, je lui fais absolument confiance. Le jour où je ne lui fais plus confiance, il part dans le quart d'heure. Autrement, c'est intenable."
Comment voyez-vous le club demain ?
Ce que je voudrais faire, c'est qu'il y ait un vrai projet autour de lui, pas seulement sportif mais plus ample. Que le club serve à la ville en développant les vertus de travail, de solidarité et d'entraide. Je n'ai pas l'obsession du Top 14 mais plutôt d'un club qui accueille les gosses avec un rapport avec les écoles. Et aussi, en lien avec le vieillissement, avec une grande clinique du sport, valorisante. C'est quand même mieux, pour une remise en forme, d'aller à la clinique du sport où tu croises les joueurs de rugby que des gens dans des conditions physiques difficiles.
C'est tout un projet. Aujourd'hui, les prestations que l'on peut offrir sont limitées. Si nous avions plus de loges, on les vendrait. Il faut de l'investissement, toujours de l'investissement. J'ai eu des scrupules à la faire. Aujourd'hui dans ma tête, j'ai réglé ça. On essaie de faire au mieux, en donnant du sens à ce qu'on fait.
SEB a écrit:Ses propos sont respectables, mais on est loin d'un club professionnel.
On revient presque à l'époque où les clubs étaient des coopératives omnisports qui permettaient l'éducation pour tous.
C'est honorable mais si on prend ce chemin-là, on est fini.
Bleu-Rouge a écrit:Robert Ménard, maire de Béziers : " La Ville paie pour le rugby et cela ne me pose aucun problème"
Abonnés
Le maire, Robert Ménard, assume ses choix pour le club de rugby. MIDI LIBRE - Caroline Gaillard
Rugby XV, Béziers
Publié le 31/05/2023
Après le vote d'une nouvelle subvention de 350 000 € à la SASP Rugby, le maire de Béziers explique ses choix. Et les assume.
Vous avez fait voter lors du dernier conseil municipal une nouvelle subvention, de 350 000 € pour la SASP Rugby. Pourquoi encore cette rallonge ?
Je tiens tout d'abord à rappeler que si nous n'avions pas été là, le club ne serait plus en Pro D2. Franchir ce pas n'a pas été rien. C'est le seul club, propriété d'une Ville. Aujourd'hui, il a une situation financière saine. Si nous avons été obligés de trouver 350 000 € de plus, c'est que l'Etat a demandé le remboursement des frais de billetterie de la période du Covid. C'est écrit dans la délibération. On ne pensait jamais que l'Etat nous demanderait de rembourser. C'est le cas pour tous les clubs. Cela n'a rien à voir avec le PGE que nous remboursons, par ailleurs, comme c'était prévu.
Continuez-vous à discuter avec d'éventuels repreneurs ? Les oppositions municipales semblent dire que tout n'est pas dit.
Non, je ne dis pas tout. Quand on discute avec nombre de gens, on demande une clause de confidentialité. Et elle est réciproque. C'est bien normal dans une discussion. Et oui, je continue à en rencontrer et cela ne veut pas dire que ça va déboucher. Je suis incapable de le dire aujourd'hui. De toute façon, il y aura demain encore la Ville parce que je pense, et c'est un choix personnel, que le club est aussi un lieu d'éducation. La Ville paie pour le rugby et cela ne me pose aucun problème. Cela fait 1,150 M€ avec la dernière subvention. Je ne veux plus justifier et j'assume le fait que oui, on aide de façon importante et on continuera. Ça pourrait être une sorte d'utilité publique. Cette saison, ce sont 67 968 spectateurs qui sont venus au stade. Nous sommes classés 7e sur 16 en termes de fréquentation avec le meilleur score en fin de saison.
"Je fais confiance à Pierre Caillet"
Quand on évoque l'équipe dirigeante et Jean-Michel Vidal qui avait évoqué n'être que de passage, Robert Ménard commente : "Il restera aussi longtemps que je le demanderai, gentiment. Il l'a fait et il continuera à le faire. On a des rapports amicaux qui dépassent le sport. Avec Michaël Guedj, ils ont été présents et je sais que je peux leur demander beaucoup de choses. Et je continuerai à le faire. Heureusement qu'ils étaient là tous les deux, honnêtement. Et dans l'autre sens, ils savent que j'ai été là au bon moment. On est d'accord sur ça."
Quant à sa présence auprès de l'équipe, plus fréquente, il justifie : "Quand la mairie donne de l'argent, elle a un droit de regard. Et donc je l'exerce ce droit de regard. C'est l'argent du contribuable. Oui, je vais m'expliquer avec les joueurs, oui je les ai rencontrés et oui, je suis capable de leur dire ou de leur dire mes exaspérations - je l'ai fait au moins deux fois cette année. J'ai 70 ans, je peux parler à des gamins de 25 ans en gueulant s'il faut gueuler. Je n'ai aucun scrupule à le faire et je ne crois pas qu'ils s'en formalisent plus que ça."
"En plus, j'ai appris à connaître Pierre Caillet. Je lui fais confiance. Le deal est très simple, je lui fais absolument confiance. Le jour où je ne lui fais plus confiance, il part dans le quart d'heure. Autrement, c'est intenable."
Comment voyez-vous le club demain ?
Ce que je voudrais faire, c'est qu'il y ait un vrai projet autour de lui, pas seulement sportif mais plus ample. Que le club serve à la ville en développant les vertus de travail, de solidarité et d'entraide. Je n'ai pas l'obsession du Top 14 mais plutôt d'un club qui accueille les gosses avec un rapport avec les écoles. Et aussi, en lien avec le vieillissement, avec une grande clinique du sport, valorisante. C'est quand même mieux, pour une remise en forme, d'aller à la clinique du sport où tu croises les joueurs de rugby que des gens dans des conditions physiques difficiles.
C'est tout un projet. Aujourd'hui, les prestations que l'on peut offrir sont limitées. Si nous avions plus de loges, on les vendrait. Il faut de l'investissement, toujours de l'investissement. J'ai eu des scrupules à la faire. Aujourd'hui dans ma tête, j'ai réglé ça. On essaie de faire au mieux, en donnant du sens à ce qu'on fait.
joug 2 a écrit:Bleu-Rouge a écrit:Robert Ménard, maire de Béziers : " La Ville paie pour le rugby et cela ne me pose aucun problème"
Abonnés
Le maire, Robert Ménard, assume ses choix pour le club de rugby. MIDI LIBRE - Caroline Gaillard
Rugby XV, Béziers
Publié le 31/05/2023
Après le vote d'une nouvelle subvention de 350 000 € à la SASP Rugby, le maire de Béziers explique ses choix. Et les assume.
Vous avez fait voter lors du dernier conseil municipal une nouvelle subvention, de 350 000 € pour la SASP Rugby. Pourquoi encore cette rallonge ?
Je tiens tout d'abord à rappeler que si nous n'avions pas été là, le club ne serait plus en Pro D2. Franchir ce pas n'a pas été rien. C'est le seul club, propriété d'une Ville. Aujourd'hui, il a une situation financière saine. Si nous avons été obligés de trouver 350 000 € de plus, c'est que l'Etat a demandé le remboursement des frais de billetterie de la période du Covid. C'est écrit dans la délibération. On ne pensait jamais que l'Etat nous demanderait de rembourser. C'est le cas pour tous les clubs. Cela n'a rien à voir avec le PGE que nous remboursons, par ailleurs, comme c'était prévu.
Continuez-vous à discuter avec d'éventuels repreneurs ? Les oppositions municipales semblent dire que tout n'est pas dit.
Non, je ne dis pas tout. Quand on discute avec nombre de gens, on demande une clause de confidentialité. Et elle est réciproque. C'est bien normal dans une discussion. Et oui, je continue à en rencontrer et cela ne veut pas dire que ça va déboucher. Je suis incapable de le dire aujourd'hui. De toute façon, il y aura demain encore la Ville parce que je pense, et c'est un choix personnel, que le club est aussi un lieu d'éducation. La Ville paie pour le rugby et cela ne me pose aucun problème. Cela fait 1,150 M€ avec la dernière subvention. Je ne veux plus justifier et j'assume le fait que oui, on aide de façon importante et on continuera. Ça pourrait être une sorte d'utilité publique. Cette saison, ce sont 67 968 spectateurs qui sont venus au stade. Nous sommes classés 7e sur 16 en termes de fréquentation avec le meilleur score en fin de saison.
"Je fais confiance à Pierre Caillet"
Quand on évoque l'équipe dirigeante et Jean-Michel Vidal qui avait évoqué n'être que de passage, Robert Ménard commente : "Il restera aussi longtemps que je le demanderai, gentiment. Il l'a fait et il continuera à le faire. On a des rapports amicaux qui dépassent le sport. Avec Michaël Guedj, ils ont été présents et je sais que je peux leur demander beaucoup de choses. Et je continuerai à le faire. Heureusement qu'ils étaient là tous les deux, honnêtement. Et dans l'autre sens, ils savent que j'ai été là au bon moment. On est d'accord sur ça."
Quant à sa présence auprès de l'équipe, plus fréquente, il justifie : "Quand la mairie donne de l'argent, elle a un droit de regard. Et donc je l'exerce ce droit de regard. C'est l'argent du contribuable. Oui, je vais m'expliquer avec les joueurs, oui je les ai rencontrés et oui, je suis capable de leur dire ou de leur dire mes exaspérations - je l'ai fait au moins deux fois cette année. J'ai 70 ans, je peux parler à des gamins de 25 ans en gueulant s'il faut gueuler. Je n'ai aucun scrupule à le faire et je ne crois pas qu'ils s'en formalisent plus que ça."
"En plus, j'ai appris à connaître Pierre Caillet. Je lui fais confiance. Le deal est très simple, je lui fais absolument confiance. Le jour où je ne lui fais plus confiance, il part dans le quart d'heure. Autrement, c'est intenable."
Comment voyez-vous le club demain ?
Ce que je voudrais faire, c'est qu'il y ait un vrai projet autour de lui, pas seulement sportif mais plus ample. Que le club serve à la ville en développant les vertus de travail, de solidarité et d'entraide. Je n'ai pas l'obsession du Top 14 mais plutôt d'un club qui accueille les gosses avec un rapport avec les écoles. Et aussi, en lien avec le vieillissement, avec une grande clinique du sport, valorisante. C'est quand même mieux, pour une remise en forme, d'aller à la clinique du sport où tu croises les joueurs de rugby que des gens dans des conditions physiques difficiles.
C'est tout un projet. Aujourd'hui, les prestations que l'on peut offrir sont limitées. Si nous avions plus de loges, on les vendrait. Il faut de l'investissement, toujours de l'investissement. J'ai eu des scrupules à la faire. Aujourd'hui dans ma tête, j'ai réglé ça. On essaie de faire au mieux, en donnant du sens à ce qu'on fait.
Il me semble qu'il y a une erreur dans l'article l'asbh est 9ème et non 7ème
11 BRENNUS a écrit:J'avoue également ne plus savoir que penser de l'avenir, on ne peut pas fonctionner comme un sovkhoze. C'est louable de vouloir faire un club omnisport ou toutes catégories , mais comme relevé plus haut, ce mélange des genres est contradictoire et incompatible avec la structuration professionnellle indispensable pour évoluer dans un championnat en perpétuelle progression économique et sportive de fait.
Le ou les repreneurs devront vraiment être très costauds pour convaincre le chef de gare et inverser la vapeur, sinon, j'ai bien peur que nous nous fourvoyions sur les voies de garage avec ce mode de conduite. Bob ressaisis-toi!!!
11 BRENNUS a écrit:J'avoue également ne plus savoir que penser de l'avenir, on ne peut pas fonctionner comme un sovkhoze. C'est louable de vouloir faire un club omnisport ou toutes catégories , mais comme relevé plus haut, ce mélange des genres est contradictoire et incompatible avec la structuration professionnellle indispensable pour évoluer dans un championnat en perpétuelle progression économique et sportive de fait.
Le ou les repreneurs devront vraiment être très costauds pour convaincre le chef de gare et inverser la vapeur, sinon, j'ai bien peur que nous nous fourvoyions sur les voies de garage avec ce mode de conduite. Bob ressaisis-toi!!!
Cyril a écrit:11 BRENNUS a écrit:J'avoue également ne plus savoir que penser de l'avenir, on ne peut pas fonctionner comme un sovkhoze. C'est louable de vouloir faire un club omnisport ou toutes catégories , mais comme relevé plus haut, ce mélange des genres est contradictoire et incompatible avec la structuration professionnellle indispensable pour évoluer dans un championnat en perpétuelle progression économique et sportive de fait.
Le ou les repreneurs devront vraiment être très costauds pour convaincre le chef de gare et inverser la vapeur, sinon, j'ai bien peur que nous nous fourvoyions sur les voies de garage avec ce mode de conduite. Bob ressaisis-toi!!!
Ce sont des discours d' AUTOCRATE , pas plus pas moins !!
Tres inquiétant pour l' Avenir du club.
Retourner vers ASBH, saison 2023/2024
Utilisateurs parcourant ce forum: bubudelasb, sadepote et 34 invités