Re: [Top14] *** The topic off *** 2020/2021
Posté:
Jeu 2 Mar 2023 17:43
de Cyril
Perpignan recevra Bayonne, gros match pour des Catalans qui apres avoir fait impasse a Begles vont pouvoir se concentrer pleinement sur une équipe Basque qui marche sur l'eau !!
Avec deux réceptions consécutives a domicile ( Montpellier prochainement) ce qui n'est pas facile , les sang et or en cas d'exploit pourraient meme quitter la place de Barragiste...mais il faudra d'abord torcher les Bayonnais ce qui est a mon gout dans leurs cordes !!
Re: [Top14] *** The topic off *** 2020/2021
Posté:
Jeu 2 Mar 2023 17:47
de Cyril
A suivre également ,
Castres.Lyon
Brive.Bordeaux
Pau.la Rochelle
Racing.Toulouse
Toulon.Stade Français
Tous les matchs auront un interet particulier que ce soit pour le Haut ou le Bas de tableau !! A vos pronos !!
Re: [Top14] *** The topic off *** 2020/2021
Posté:
Jeu 2 Mar 2023 17:50
de Cyril
A suivre également ,
Castres.Lyon
Brive.Bordeaux
Pau.la Rochelle
Racing.Toulouse
Toulon.Stade Français
Tous les matchs auront un interet particulier que ce soit pour le Haut ou le Bas de tableau !! A vos pronos !!
Re: [Top14] *** The topic off *** 2020/2021
Posté:
Sam 4 Mar 2023 07:08
de Cyril
L'usap sans vagues..!!
Perpignan a déja preparé son budget pour la saison prochaine..ou plutot deux !!
Un en cas de descente avec 15 millions programmés ce qui en fera le plus gros de Pro D2 et donc leur donneront les armes pour remonter, et le second pour le Top 14 ou d'apres Riviere certains joueurs de bons calibres pourraient rejoindre les sang et or.
Donc, stabilité , finances saines, objectifs définis , de quoi tout simplement couler des jours paisibles sur les bords de la Tet.
On pourrait rajouter beaucoup d'intelligence car Riviere n'exclu pas a l'avenir un passage de témoin.
Grace a cette sagesse les Catalans s'enlevent une certaine pression meme si l'objectif est de rester en Top 14.
Re: [Top14] *** The topic off *** 2020/2021
Posté:
Sam 4 Mar 2023 17:29
de Cyril
2 Essais Bayonnais coup sur coup 28.27 pour Perpignan 50 ieme , match fou fou !! Les Basques renversent la table !!
Castres fait le break face a Lyon 21.10
Pau revient a 5 points de La Rochelle 18.23
Brive.Bordeaux 10.21
Re: [Top14] *** The topic off *** 2020/2021
Posté:
Sam 4 Mar 2023 22:25
de drop 74
Toulon 37 / Stade Français 9
Belle victoire bonifiée grâce, entre autres, à un super Baptiste Serin et une défense de fer.
Re: [Top14] *** The topic off *** 2020/2021
Posté:
Mar 7 Mar 2023 06:02
de joug 2
Un article intéressant sur le midi libre, cela concerne un espoir du rugby français le jeune Nouchi qui joue à montpellier. A noter que c'est l'entraîneur des avants du MRC qui est venu le chercher alors que d'autres clubs de top 14 étaient intéressés.
Bravo à ce jeune pour cette belle évolution, et oui à défaut d'avoir des titres, on forme encore de bons joueurs à Béziers. Dommage que le système rugbystique ne permette pas de conserver ces pépites, il y en a beaucoup de biterrois qui s'épanouissent dans d'autres clubs et sans doute que d'autres vont suivre
Re: [Top14] *** The topic off *** 2020/2021
Posté:
Mar 7 Mar 2023 09:02
de panz
oui c'est vrai, malheuresement c'est la realite de tous les clubs de ProD2, voire meme du bas du tableau top 14. il y a toujours plus gros que soit, et forcement ca attire les jeunes joueurs (qu'on ne peut pas retenir de toute facon, contrat ou pas contrats, si le joueur veut partir, il aprtira vers des clubs qui le feront rever)
par contre l'article souligne le role de Beziers dans la formation du joueur, c'est a preciser
Re: [Top14] *** The topic off *** 2020/2021
Posté:
Mer 8 Mar 2023 17:51
de drop 74
Et voilà, l'argent continue à faire des ravages!
Top 14 - La Section paloise face à un risque de déficit de l'ordre de 2 millions d'euros
Par Quentin Put
Le 08/03/2023 à 09:26
Mis à jour à 16:10
La Section paloise pourrait enregistrer à l'issue de l'exercice en cours un déficit entre 1,8 et 2,5 millions d'euros, rapportent nos confrères de Sud-Ouest. En cause notamment, une affluence plus basse que les prévisions et l'affaire Taylor.
La Section paloise, dans la zone rouge depuis la 20e et dernière journée (13e, soit barragiste), n'a pas que des ennuis sportifs. Sud-Ouest révèle que le club béarnais pourrait faire face à un déficit conséquent à la fin de l'exercice en cours. Il serait de l'ordre de 1,8 à 2 millions d'euros. Le budget prévisionnel du club était de 24,4 millions d'euros, soit un peu en-deça des standards avant la pandémie. Celui-ci impliquait une affluence moyenne entre 12 et 13 000 spectateurs par match, un nombre d'abonnés en hausse de 30% et des recettes marketing estimées à 1,5 million d'euros. L'échec dans ces missions conduit à un déficit entre 1,8 et 2 millions d'euros. Et le reste serait dû à l'affaire Tom Taylor.
https://www.rugbyrama.fr/2023/03/08/top ... 045873.php
Re: [Top14] *** The topic off *** 2020/2021
Posté:
Lun 13 Mar 2023 08:39
de Bleu-Rouge
Mohed Altrad : "Je suis très fort dans l'adversité", le président du MHR raconte son actualité et celle de son club
Abonnés
Le président du MHR Mohed Altrad se livre pour la première fois cette saison. Midi Libre - SYLVIE CAMBON
Rugby XV, Sport, Montpellier HR, Montpellier
Publié le 13/03/2023
Le président du MHR Mohed Altrad revient sur la saison de son club du MHR, les objectifs à venir et son actualité. Il était temps de faire un point.
Bio express
- Né entre 1948 et 1951, en Syrie. Il arrive en France en 1970, à Montpellier. Il réalise des études d’ingénieur à Montpellier et Paris.
L’homme d’affaires
- En 1985, il rachète une PME en faillite, spécialisée dans les échafaudages. C’est le point de départ du Groupe Altrad. La société de l’homme d’affaires est aujourd’hui un géant mondial du BTP. Son chiffre d’affaires 2022 frise avec les 4 milliards d’euros, selon Les Echos. La fortune du businessman est estimée à 4 Mds, selon Challenges (31e fortune de France).
Altrad et le rugby
- Président du MHR depuis 2011.
- Sponsor maillot du XV de France depuis 2018. En 2021, il devient aussi sponsor maillot des All Blacks, et en 2022, de la Western Force, province australienne.
Cette victoire contre Clermont (34-6), a-t-elle soulagé un peu tout le monde au MHR ?
C’est une saison compliquée. Il y a le syndrome du Brennus qui a joué. Fatalement, il y a une baisse d’un tas de choses comme la motivation, l’envie… On a perdu trois matches à domicile. Là, on n’avait pas gagné depuis six matches. Donc oui, cette victoire fait du bien. On est à six points de la sixième place. Il nous reste six matches. Si on en gagne cinq, on sera dans les six.
Le doute, s’est-il installé ?
Peut-être un peu. Je l’ai senti depuis quelques matches. La presse parlait aussi. Un moment donné, on a même parlé de Christophe Urios à Montpellier. Si vous voulez, quand le doute s’installe, il envahit un peu tout le monde. Le mercredi avant Clermont, j’ai invité les cinq membres du staff (Philippe Saint-André, Jean-Baptiste Elissalde, Alexandre Ruiz, Bruce Reihana, Joan Caudullo) à venir à la maison. Ma femme avait préparé un couscous. Quand ils sont arrivés, je leur ai dit : "Ce soir, la priorité n’est pas le rugby. On va manger et on va boire."
C’est tout ?
Toute la soirée s’est passée comme ça. Je sentais qu’ils étaient un peu déstabilisés parce qu’ils s’attendaient peut-être à des annonces, que je leur remonte les bretelles. Mais non. Je suis en contrat avec eux jusqu’en 2025, je n’ai pas envie de les changer.
Chaque année, il faut injecter 4-5 millions d’euros. Depuis mon arrivée, j’ai contribué à hauteur de 80 millions.
Comprenez-vous qu’ils se soient sentis en danger, encore plus avec le nombre d’entraîneurs écartés cette saison (4) ?
Je comprends la fragilité de l’être humain. Vous et moi sommes comme ça. Mais peut-être faut-il adapter son discours, se renouveler un peu. Mais à aucun moment je n’ai voulu supprimer Philippe Saint-André ou qui que ce soit. Il faut peut-être le faire monter d’un étage.
On a signé Richard Cockerill la saison prochaine. On va voir s’il peut venir avant la fin de la saison. L’idée est de convaincre la fédération anglaise de le laisser partir après le Tournoi.
Dès lors, quel était le discours pour Clermont ?
Le samedi du match, comme d’habitude, je les ai rejoints à l’hôtel. J’ai tenu aussi à dire quelques mots avant la sortie des vestiaires. J’ai pris une dizaine de joueurs à part, les cadres notamment, pour leur demander ce qu’il se passe. J’ai eu des mots pour certains, en deçà de leur niveau de la saison dernière. Ça a produit le match que vous connaissez. Si on avait perdu, on aurait lutté pour le maintien.
A lire aussi : Top 14 : "On a compris qu'il fallait une identité", le poignant mea culpa d'Altrad après le succès du MHR en finale
À aucun moment vous avez envisagé de bouleverser le groupe ?
Non. Mon idée est quand même de bâtir. Je suis arrivé ici en 2011. J’ai fait des erreurs. J’ai pensé que j’allais réussir très vite, mais non. J’ai sous-estimé la tâche. Il vous faut un public qui vous soutient, un environnement global pour réussir. On l’a eu l’année passée, pour ma dixième année à la tête du club. Depuis que je suis là, on a toujours été dans les six, ou pas très loin. On a gagné deux fois le Challenge européen. C’est un parcours honorable. Je veux continuer cette construction. Elle n’est pas facile parce que le club est largement déficitaire. Chaque année, il faut injecter 4-5 millions d’euros. Depuis mon arrivée, j’ai contribué à hauteur de 80 millions.
Projet autour du stade
Justement, avez-vous songé à arrêter ? En plus après avoir enfin gagné le Top 14 ?
Le titre est inespéré pour une terre qui n’est pas une terre de rugby comme l’Usap, où toute la ville respire le rugby.
Quand les collectivités m’ont contacté en 2011 pour sauver le club en injectant 2,4 millions d’euros, dans un sport où je ne connaissais rien, j’ai accepté. En contrepartie, je leur avais demandé de maintenir leur contribution. Ils n’ont jamais tenu leurs promesses. Initialement, leur contribution devait s’élever à 4 millions d’euros par an. Aujourd’hui, elle est de l’ordre de quelques centaines de milliers d’euros.
Moi, je veux porter le club tant que je peux, avec ou sans collectivité. Aujourd’hui, si je me retire, il n’y a plus de rugby à Montpellier. Je ne vois pas qui pourra injecter autant d’argent. Il faut un mécène quoi.
N’était-il pas question, un temps, de créer une économie autour du GGL Stadium ?
Il y avait une volonté, pour combler le trou annuel, de faire quelque chose autour du stade. Ça avait commencé assez tôt lorsque Philippe Saurel a été élu maire (2015). Mais il n’a jamais vraiment voulu le faire. Michaël Delafosse, quand il est élu (2020), avait prévu dans son programme un transfert public/privé du stade pour structurer le club. Ça fait donc deux ans et demi qu’on parle de ça, rien de réellement concret.
Où ça en est aujourd’hui ?
On s’était mis d’accord en juillet 2020 sur un schéma. Trois ans après, on est toujours dans la même situation.
Le GGL Stadium est un beau stade mais il vieillit. Il faut le rénover. La sono, la lumière, les sièges, la peinture, les tableaux d’affichage, les télévisions… Il y en a pour 10 millions d’euros. Il faut aussi le rendre plus esthétique. Le maire m’a dit qu’il allait faire le nécessaire quand il est descendu dans les vestiaires après la victoire contre Clermont. Il a pris contact avec des gens chez nous pour accélérer le processus.
Dans le contrat du sponsor maillot que l’on a signé (en 2018), qui s’élève à 35 millions d’euros sur cinq ans, il y a une clause. Je veux que cet argent aille dans le monde amateur.
Voir Ouedraogo soulever le Bouclier, Enzo Forletta, attirer de la sympathie en juin dernier… Qu’est-ce que ça vous fait ?
Ça n’a pas de prix. Vous avez changé la vie des gens. Les gens viennent au stade, s’identifient aux gens de Montpellier. Je sens de l’affection, l’attachement du public. Je voulais apporter à cette ville, à ce pays, quelque chose. Même si mon arrivée en 1970 a été marquée par de la souffrance.
Mais cet investissement, je le fais pour l’équipe de France aussi, dans le contrat qui m’a valu des soucis judiciaires. Dans le contrat du sponsor maillot que l’on a signé (en 2018), qui s’élève à 35 millions d’euros sur cinq ans, il y a une clause. Je veux que cet argent aille dans le monde amateur. Les clubs doivent pouvoir se payer le bus, les sandwiches, les éducateurs. Donner du plaisir aux gens, c’est ce qui m’anime.
Vous évoquez vos soucis judiciaires. À quel point cela vous a impacté ?
Dans cette affaire, il y a plusieurs facettes : le contrat d’image, le sponsor maillot et le rachat du club de Gloucester en Angleterre. Il a fallu s’expliquer sur tous ces sujets avec mes avocats. Nous avons fait appel (de la condamnation, voir par ailleurs). Cela peut durer encore six mois, cinq ans… En attendant, ma vie d’avant est égale à ma vie d’après. Cela a surtout un impact sur ma famille.
A lire aussi : Mohed Altrad et Bernard Laporte tous deux reconnus coupables de faits de corruption lors de leur procès
A lire aussi : Procès Altrad-Laporte : Mohed Altrad fait appel, le parquet national financier fait appel de la relaxe de Serge Simon
Comment avez-vous vécu ces journées au Tribunal ?
C’était une expérience. Je n’ai jamais été devant des policiers, un Tribunal. Ça fait bizarre. Mais il y avait 70 journalistes dans la salle. Le procès a été suivi par 20 millions dans le monde. Altrad, c’est moi, mais c’est aussi une marque mondiale, du XV de France, des All Blacks, de la Western Force (province australienne) et de Montpellier, une personnalité mondialement connue dans le business et dans le rugby.
Je circule dans ma ville tous les jours, aux abords du stade, je prends des selfies
Cela vous a secoué ?
Je suis très fort dans l’adversité. J’en ai connu d’autres, notamment dans mon enfance. Pour moi, ce n’est qu’une péripétie. Le truc a duré presque quatre semaines. En accord avec la présidente, j’ai assisté à trois journées. À un moment donné, elle voulait m’écouter moi, pas mes avocats, désirait se faire une appréciation personnelle. Le dernier jour, ça a commencé à 14 h, et terminé à 23 h. Je suis resté debout, j’ai répondu à toutes les questions. J’étais très fatigué à la fin, mais j’ai tenu bon. "Monsieur Altrad, prenez une chaise", m’a proposé la présidente. "Madame, je ne veux pas m’asseoir, je veux aller au bout." Il m’en faut plus pour lâcher.
Quelle relation entretenez-vous avec Bernard Laporte aujourd’hui ?
C’est un ami, passionné de rugby, intègre, je ne le laisserai pas tomber.
Toutes ces affaires, ont-elles entaché l’image du club ?
Je ne pense pas. Pas que les gens ne soient pas au courant, je ne dis pas ça. Mais je n’ai pas senti un changement dans le capital sympathie. Je circule dans ma ville tous les jours, aux abords du stade, je prends des selfies. Je vous dis ça en toute modestie. Je suis un homme assez modeste, je vis normalement. J’ai une Rolls mais c’est le seul truc que j’ai. J’ai une maison, pas trois. Je bosse beaucoup tous les jours. Ça ne m’intéresse pas d’avoir un cercle de gens huppés autour de moi. Je veux continuer à travailler, comme je l’ai toujours fait, faire un peu de poésie, peaufiner mon 4e roman sur lequel je travaille depuis dix ans, j’écris des textes sur le management… C’est ça qui me fascine. Je ne veux pas oublier le lien social.
L’affaire laporte-Altrad
Le président de la Fédération française de rugby Bernard Laporte et Mohed Altrad ont été jugés en septembre dernier pour faits de corruption et trafic d’influence. A l’issue de ce procès, les deux hommes ont été reconnus coupables. Laporte a été condamné à deux ans de prison avec sursis et 75 000€ d’amende. Dix-huit mois de prison avec sursis et 50 000€ d’amende ont été décidés à l’encontre du chef d’entreprise et président du MHR. Les deux hommes ont fait appel.